Sur ton chant, je vague

Publié le par Fu Hao

Suite à l'article publié par eMmA à propos de Michel Jonasz et le titre: Les Fourmis rouges, il m'est venu l'envie d'écrire cet acrostiche en écoutant cette chanson...


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Ses doigts sur le clavier l’onde effleurée
Un pincement au cœur le silence des mots
Rêve mon âme le Verbe à son orée

Tout près de la nouure dans la distance
Ô ce désir inassouvi ! Le Verbe à nouveau se dérobe
Ne dévoile à ma langue sa magnificence

Coule l’onde la blancheur de l’ivoire
Halète en l’émouvance de la flamme
Autant de beauté on n’ose y croire
Nimbées de lumière sous les feux de l’enclume
Tintent mes oreilles de mille merveilles

Jazzie ton chant paillette mes envies
Effeuille mes pas l’ivresse bleue du murier

Voici le temps de l’amour au clair regard
A l’aube du dernier jour ainsi les doigts
Gorgés d’essentiel s’éploient
Un rêve d’azur sur les lèvres
Eprises s’éveille de miel et de nard



Publié dans Acrostiches

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E
Quel écho surprenant !<br /> <br /> J'ai toujours aimé les correspondances, toutes sortes de correspondances...<br /> <br /> Merci pour cette "suite".<br /> <br /> Bonne semaine,<br /> eMmA
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L
Se faire piquer par des fourmis rouges pour se souvenir à jamais du moment, à jamais/toujours présent
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